26 mai 2007

Le hoax du réchauffement climatique sert à faire accepter les prix élevés du pétrole

A quoi sert le mensonge sur le réchauffement climatique ? En réalité, à faire accepter les prix élevés du pétrole en particulier, et des hydrocarbures en général. Et en fait, c'est même mieux que ça. Ca sert même à les faire désirer de la part des gens qui croient à cette théorie.

En effet, selon le modèle en question, c'est l'excès de co2 dans l'atmosphère qui cause le réchauffement climatique. Et ce dernier est présenté comme un phénomène aux conséquences catastrophiques. Or, la consommation d'hydrocarbures est la cause essentielle de l'augmentation du co2 dans l'atmosphère. Donc, quelqu'un qui se sent concerné par le réchauffement climatique va désirer une baisse de la consommation de ces hydrocarbures. Et quel meilleur moyen (hormis une décision autoritaire) d'obtenir cette baisse qu'une augmentation des prix ?

Donc, cette personne sera contente que les prix des hydrocarbures augmentent, puisque ça signifiera une baisse de leur consommation, et donc, une baisse de la production de co2. Cette personne acceptera beaucoup plus facilement les prix élevés du pétrole. Soit, hypothèse basse (si la personne est moyennement impliquée), elle trouvera ça dur, mais elle se dira qu'au moins, ça permettra de lutter contre le réchauffement climatique. Soit, hypothèse haute (si la personne est fortement impliquée), la personne applaudira l'arrivée des augmentations du prix des hydrocarbures. Elle les souhaitera ardemment.

C'est encore mieux que la théorie du peak-oil. Celle-ci permet de présenter la hausse des prix du pétrole comme une fatalité. Donc, elle permet de faire accepter la hausse par le peuple. La théorie du réchauffement climatique, elle, permet carrément de faire désirer la hausse des prix du pétrole par le peuple. Celui-ci n'est plus passif ; il devient éventuellement actif au coté de l'industrie du pétrole. C'est encore plus fort. Mais bon, il ne s'agit pas tellement de faire encore mieux, mais plutôt d'avoir deux théories qui travaillent en synergie pour faire accepter les prix élevés du pétrole.

Bien entendu, dans la réalité, ces espoirs seront déçus. La hausse des prix du pétrole ne conduira pas à une diminution de la consommation (la hausse est bien sur savamment contrôlée et limitée pour qu'un telle chose n'arrive pas). Elle n'entrainera que des bénéfices énormes pour l'industrie pétrolière.

Bien sur, ça peut conduire à d'autres développements, si on va plus loin dans l'hystérie sur le réchauffement climatique. Ca peut permettre de faire accepter des lois liberticides par les citoyens au nom de la lutte contre le réchauffement climatique. Donc, cette hystérie à un potentiel qui ne se limite pas à la simple adhésion des gens à l'augmentation des prix des hydrocarbures. Enfin bon, en fait, ça s'inscrit déjà dans l'espèce de climat de peur actuel (peur du terrorisme, peur des nouvelles maladies, peur des catastrophes causées par l'homme, etc...) qui est un des éléments qui permettent de faire passer des lois liberticides pour privilégier la sécurité.

Pour plus d'informations sur le mensonge sur le réchauffement climatique, voir le blog http://www.climat-sceptique.com/

22 mai 2007

Ceux qui mentent sur l'origine du pétrole cherchent aussi à diminuer la production d'énergie nucléaire

Le pouvoir occulte qui ment sur l'origine du pétrole le fait, in fine, pour contrôler les peuples. Si un peuple décide de nommer à sa tête un dirigeant qui n'est pas un représentant de ce pouvoir occulte, ce dernier peut couper l'approvisionnement en pétrole et gaz et mettre ainsi à genou l'économie du pays. Par ailleurs, un pays qui n'a plus d'essence est un pays qu'on peut envahir facilement. Donc, non seulement on peut entraîner des troubles dans la population grâce à l'effondrement du niveau de vie, mais on peut en plus écraser militairement ce pays.

L'énergie nucléaire met en danger cette stratégie. En effet, il est possible, avec le nucléaire, d'avoir assez de combustible pour quelques années. Et ce serait encore plus vrai avec des centrales surgénératrices. Il deviendrait alors difficile pour ce pouvoir occulte de faire s'effondrer une économie. D'autant plus qu'avec le procédé Fischer-Tropsch, il est possible à un pays d'utiliser ses ressources en charbon (ressources assez bien réparties dans le monde) et en électricité nucléaire pour produire du pétrole.

Donc, la clique qui gouverne le monde n'a pas du tout intérêt à ce que le nucléaire se développe dans le monde. Au contraire, elle a intérêt à ce que celui-ci ait un part extrêmement faible dans la production d'énergie.

Il est donc logique qu'on ait assisté au développement, depuis une trentaine d'année, de critiques très virulentes de l'énergie nucléaire, et que ces critiques aient aboutit un peu partout en Europe, sauf en France (pour l'instant), à un mouvement de désengagement du nucléaire dans les pays possédant des centrales, et à son non développement dans les pays n'en possédant pas.

A quoi aboutit l'abandon de l'énergie nucléaire dans la réalité ? Eh bien, à son remplacement par des centrales fonctionnant aux énergies fossiles : charbon, gaz, et éventuellement pétrole. Si on prend l'exemple de l'Allemagne, l'abandon de l'énergie nucléaire, voté en 2002, va conduire sur les prochaines années à la construction de 45 centrales thermiques et à l'amélioration de 200 autres. Bien sur, dans le même temps, on crée un écran de fumée, en faisant croire qu'on pousse les énergies renouvelables. Mais au final, ce sont bien les centrales fonctionnant aux hydrocarbures qui sont essentiellement favorisées.

Evidemment, c'est tout bénéfice pour l'industrie pétrolière. Mais surtout, le pays devient beaucoup plus dépendant de l'extérieur qu'avec des centrales nucléaires.

Tous les mouvements qui poussent à l'abandon du nucléaire sont clairement payés par ce pouvoir occulte, de même que les politiciens (non écologistes) qui sont réceptifs à ce genre de discours. Comme ce sont les écologistes, principalement qui critiquent le nucléaire, on peut dire sans problème que leurs dirigeants sont corrompus et payés par ce pouvoir occulte pour favoriser le remplacement de l'électricité nucléaire par de l'électricité obtenue grâce aux hydrocarbures.

PS : il est également assez évident que le pouvoir en question a cherché à limiter au maximum les sources d'approvisionnement en uranium. On peut penser que, comme pour le pétrole, il y a des mines d'uranium exploitables un peu partout sur terre. De la même façon, ce pouvoir occulte fait croire que les ressources minières en uranium sont très limitées (entre 30 et 60 ans au rythme de consommation actuel). Alors qu'il est probable qu'il y en ait infiniment plus, comme pour le pétrole. Sans compter, bien sur, l'uranium qu'on peut obtenir à partir de la mer.

13 mai 2007

Kérogène : le problème de la quantité de carbone nécessaire à sa formation

En se renseignant sur la théorie officielle concernant le processus de transformation des végétaux en pétrole et charbon, on s'aperçoit vite que ça implique la présence d'énormes quantités de carbones à l'époque du carbonifère. En effet, pour obtenir les quantités de carbone fossile déjà importantes qu'il y a sous forme de charbon, de pétrole, de gaz, etc…, la théorie officielle dit qu'il faut la constitution d'une quantité de carbone fossile encore plus importante sous forme de kérogène.

1) Les quantités gigantesques de carbone présentes sur terre au carbonifère qu'impliquent la quantité de kérogène présente dans la terre

Pour la quantité de kérogène présent dans le sol, les théoriciens officiels du pétrole ont déjà fait une estimation. Il y aurait 10 millions de milliards de tonnes de kérogène dans la croûte terrestre (10 puissance 16). Comme le kérogène est principalement du carbone, on peut dire que c'est quasiment la même chose en terme de quantité de carbone.

Dans le modèle officiel en question, la biomasse a pompé dans l'air une quantité de carbone équivalente à la quantité de kérogène formée : soit 10 millions de milliards de tonnes de carbone. Donc, on nous dit qu'il y a eu dix millions de milliards de tonnes de carbone venant de l'atmosphère et du sol qui se sont retrouvés dans la croûte terrestre via l'enfouissement des plantes.

Regardons donc la quantité de carbone présente actuellement sur terre, aussi bien dans le sol que dans l'air.

39.000 Gt de carbone dans les océans
2000 Gt de carbone dans la biosphère (végétale et animale : dont 600 Gt d'organismes vivants et a priori 1.400 Gt constituées de débris divers)
750 Gt de carbone dans l'atmosphère

Total : environ 42.000 Gt (gigatonnes)

Plus 30 millions de Gt de carbone dans la lithosphère (ie. la croûte terrestre, il s'agit de calcaire essentiellement)
Et 10 millions de Gt de carbone fossile (kérogène, charbon, pétrole, gaz, etc…)



Donc, on a actuellement environ 42.000 Gt de carbone sur terre, dans la mer, et dans les airs (hors carbone fossile). Soit, déjà 238 fois moins que la quantité de carbone du kérogène.

Mais en fait, il faut enlever le carbone des océans du problème. En effet, le carbone présent dans les océans et la terre, est du carbone pompé in fine à l'atmosphère. Ces quantités viennent s'ajouter à la masse de carbone perdue par l'atmosphère. Ce qui vient s'ajouter aux 10 millions de Gt de carbone fossile présent dans la terre. Donc, au final, on aurait 10 millions de Gt de carbone fossile + 30 millions de Gt de carbone sous forme de roche + 39.000 Gt de carbone dans les mer pompés dans l'atmosphère. Considérons que les 39.000 Gt des océans sont négligeables par rapport au carbone stocké dans la lithosphère. On a donc, 40 millions de Gt de carbone venant de l'atmosphère et stockés dans la croûte terrestre.

Par ailleurs, d'où vient le carbone contenu dans la biomasse ? Du CO2 de l'air, principalement. Donc, la source de renouvellement est en réalité essentiellement le CO2 présent dans l'air.

Donc, la source de carbone dans laquelle la biomasse aurait pu pomper pour former le kérogène est uniquement l'atmosphère. Donc, en tout 750 Gt.

Bien sur, la lithosphère réémet, via les volcans, 0,1 Gt par an de carbone (carbone qui, selon la théorie officielle, est celui qui s'est retrouvé enfoui dans la lithosphère. Donc, ce n'est pas un apport externe). Mais comme le bilan est négatif vers la lithosphère (0,3 Gt injectée contre 0,1 Gt réémise), de toute façon, c'est bien l'atmosphère qui fournit du carbone à la lithosphère et pas l'inverse.

Ca veut dire que le kérogène contient environ 13.300 fois plus de carbone que la quantité de carbone actuelle sur terre pouvant servir de source pour la biomasse. Si on ajoute le carbone de la lithosphère sous forme de roche carbonatée (30 Gt), ça signifie qu'il y a 53.300 fois plus de carbone dans la lithosphère que dans l'atmosphère.

Donc, ça entraîne un gros, un énorme problème. Ca veut dire qu'au carbonifère, il y avait dans l'atmosphère, 53.300 fois plus de carbone que maintenant.

Ceci est complètement aberrant. En fait, il semble que dans le modèle officiel, la biomasse, ou l'atmosphère invente du carbone. Il y aurait création ex nihilo de carbone. Il y aurait 300 Mt de carbone qui disparaîtrait chaque année dans la terre (d'après la source Wikipedia). Ce qui aurait aboutit au cours des centaines de millions d'années à des dizaines de millions de Gt de carbone enfouies. Et ces 300 Mt viendraient from outer space. La biomasse, ou l'atmosphère aurait un pouvoir magique de création de carbone. Et les théoriciens ne se seraient jamais occupés du problème de la provenance du carbone. Bien sur, dans ces conditions d'absence totale de réflexion sur ce sujet, la question de savoir d'où viennent les quantités gigantesques de carbone qu'il y avait initialement dans l'atmosphère ne se pose pas (en effet, vu qu'il semble que le carbone ne va que dans un seul sens, de l'atmosphère vers la lithosphère, on se demande bien comment on a pu avoir au départ une quantité pareille de carbone dans l'atmosphère).


2) La chance incroyable d'avoir encore du carbone dans l'atmosphère malgré la déperdition qu'il y a eu au cours des ages

Donc, en fait, il y aurait une déperdition de carbone énorme de l'atmosphère. Celui-ci aurait tendance à disparaître dans la terre. Mais, comme par hasard, on est à une époque où on a la chance d'avoir encore assez de carbone pour qu'il y ait de la vie sur terre.

Calculons la quantité de kérogène formée chaque année pour obtenir la quantité de kérogène totale actuelle. Il y a eu 10 millions de milliards de tonnes de kérogène formées sur 360 millions d'années (début du carbonifère). Ca fait 10 milliards de tonnes perdues tous les 360 ans. Soit, 1 milliard tous les 36 ans. Donc, environ 28 millions de tonnes tous les ans.

Du coté de l'atmosphère, il y a 750 milliards de tonnes de carbone. Donc, avec le pompage du carbone de l'atmosphère par les plantes nécessaire pour obtenir la quantité de kérogène actuelle, tous les 36 ans, on perd 1 milliard de tonnes de carbone, et donc, au bout de 750x36 ans, c'est à dire, au bout de 27.000 ans, il n'y aura plus de CO2 dans l'atmosphère.

Bref, on a une chance absolument incroyable. A environ 27.000 ans près, on n'avait plus de carbone dans l'atmosphère et la vie disparaissait sur terre. Il aurait suffit qu'à certains moments, le rythme ait été plus rapide, pour que nous ne soyons pas là pour en parler. Ouf, quelle chance incroyable. Parce que, 27.000 ans, à l'échelle de la terre, ce n'est rien du tout.

Et en tout cas, au rythme où disparaît le carbone, dans 27.000 ans, à moins d'en rejeter une bonne quantité dans l'atmosphère, il n'y aura plus de carbone.

Et en fait, c'est peut-être encore moins que ça. Vu qu'in fine, il y a 300 millions de tonnes de carbone qui disparaissent dans la terre selon le modèle officiel (300 pour former les roches carbonatées, 100 pour former le kérogène, moins 100 qui sont réémis par les volcans à partir des roches carbonatées) on a en réalité pour 10 fois moins de temps que ça avant que le carbone ait entièrement disparu de l'atmosphère. Donc, en réalité, on aurait seulement pour 2.700 ans de carbone dans l'atmosphère devant nous.

Tout ça est parfaitement ridicule.

3) La quantité de carbone que ça implique est-elle compatible avec la vie ?

Inversement, ça veut dire que tous les 27.000 ans précédent notre ère, la quantité de CO2 augmente de la quantité présente. Il y a 0,036 % de carbone dans l'atmosphère. Donc, il y a 270 millions d'années, il y en avait 10.000 fois plus. Soit 360 %. Il y avait 3,6 fois plus de carbone que tous les autres éléments contenus dans l'air (azote et oxygène). Et il y a 360 millions d'années, ça faisait 479 %, presque 5 fois plus. Donc, a priori, il n'y aurait pas eu un seul être vivant sur terre. A moins bien sur, que les être vivants puissent vivre avec une telle proportion de carbone. A priori ce n'est pas le cas. Donc, on se demande comment les premiers dinosaures auraient pu apparaître.

Si on ajoute la quantité de carbone des roches carbonatées, on multiplie ce chiffre par 4, soit 1916 % il y a 360 millions d'années.

Et si on prend les chiffres officiels du transfert annuel du carbone vers le sol (10 fois plus élevé que le chiffre nécessaire pour arriver à la quantité de kérogène actuel), on arrive au chiffre de 4790 %.

Surtout que, problème, on a des chiffres officiels concernant le taux de co2 dans l'atmosphère. Il y a 4,25 milliards d'années, on aurait eu 30 % de co2 dans l'atmosphère. Et on aurait eu seulement 3 % il y a un milliard d'années. Donc, les chiffres qu'on peut déduire de la quantité de kérogène (et de roches carbonatées) ne collent pas du tout avec les chiffres officiels.

4) Pourquoi ne voit-on pas la quantité de carbone diminuer au cours des millions d'années ?

Notons d'ailleurs, que puisque le carbone des végétaux disparaît dans la terre, on aurait du assister à une baisse graduelle du taux de CO2 dans l'atmosphère sur l'ensemble des 360 dernière millions d'années. Et ce avec une quantité très précise d'environ 0,144 % de l'atmosphère actuelle tous les 27.000 ans (soit la quantité de carbone perdu dans la lithosphère durant cette période ; kérogène + roches carbonatées). Voir environ 0,36 %, en utilisant le chiffre de 300 millions de tonnes net de carbone perdu dans la lithosphère chaque année. Mais justement, ce n'est pas le cas. Le taux de CO2 est resté relativement stable (avec en plus des remontées à certains moments) au cours du temps.

5) Plus de CO2, mais climat plus froid

Au passage, si le carbone était présent sous forme de CO2, comme on nous dit que le CO2 est responsable du réchauffement de la planète, il devait y avoir une chaleur énorme il y a 360 millions d'années. Or, justement, le carbonifère est sensé être une période assez froide, avec une partie des continents sous la glace (Afrique et Amérique du sud). Il faudrait savoir.

C'est probablement la raison pour laquelle la théorie officielle dit qu'il n'y avait plus que 3 % de CO2 dans l'atmosphère il y a un milliard d'année. Sinon, effectivement, avec un taux beaucoup plus élevé, ça poserait un problème en ce qui concerne la température du climat, dans le modèle officiel, il y a 360 millions d'années.