Un des signes (parmi d'autres) que nos dirigeants sont corrompus jusqu'à la moelle, c'est que, évidemment, pas un n'a eu l'idée de proposer une bourse du pétrole en euros.
Pourtant, ça tombe sous le sens. C'est même le B.A.BA de la politique économique. On pourrait alors faire la même politique économique que les USA, à savoir, payer le pétrole dans une monnaie qu'il ne nous coute rien de donner, et manipuler la valeur de l'euro en fonction de nos besoins économique. Par ailleurs, la puissance de l'euro progresserait évidemment d'autant (et celle du dollar baisserait), puisqu'une partie importante du commerce international est constitué d'achat de pétrole.
Autant, tant qu'on était dans un système monétaire avec des monnaies nationales, on comprenait qu'aucune n'ait une puissance suffisante pour qu'il y ait une bourse du pétrole dans une autre monnaie que le dollar. Mais depuis qu'il y a l'euro, là, on peut le faire. En fait, ce projet aurait du être dans les valises du parlement européen, ou de la commission européenne bien avant la généralisation de l'euro. Et la bourse en question aurait du être en place le jour même où l'euro a été généralisé, soit, le 1er janvier 2002. Le fait que ça n'ait pas été le cas, et qu'en octobre 2006, il n'y ait toujours même pas l'ombre d'un début de projet montre bien que le pouvoir européen ne veut surtout pas d'une bourse du pétrole en euros.
Tout ça alors qu'on a parlé d'une bourse du pétrole en euros proposée par l'Iran (finalement bidon, mais l'important, c'est qu'on en ait parlé). Mais de la part de l'Europe, qui est pourtant concernée au premier chef, rien. Ca ne vous semble pas bizarre ?
Bien sur, le problème, ce n'est pas que les dirigeants européens n'en ont pas eu l'idée. C'est surtout qu'ils font partie d'un pouvoir plus global, et que les USA étant le bras armé de cette clique internationale qui nous gouverne, il n'est pas question de l'affaiblir en créant une bourse du pétrole en euros.
Pourtant, ça tombe sous le sens. C'est même le B.A.BA de la politique économique. On pourrait alors faire la même politique économique que les USA, à savoir, payer le pétrole dans une monnaie qu'il ne nous coute rien de donner, et manipuler la valeur de l'euro en fonction de nos besoins économique. Par ailleurs, la puissance de l'euro progresserait évidemment d'autant (et celle du dollar baisserait), puisqu'une partie importante du commerce international est constitué d'achat de pétrole.
Autant, tant qu'on était dans un système monétaire avec des monnaies nationales, on comprenait qu'aucune n'ait une puissance suffisante pour qu'il y ait une bourse du pétrole dans une autre monnaie que le dollar. Mais depuis qu'il y a l'euro, là, on peut le faire. En fait, ce projet aurait du être dans les valises du parlement européen, ou de la commission européenne bien avant la généralisation de l'euro. Et la bourse en question aurait du être en place le jour même où l'euro a été généralisé, soit, le 1er janvier 2002. Le fait que ça n'ait pas été le cas, et qu'en octobre 2006, il n'y ait toujours même pas l'ombre d'un début de projet montre bien que le pouvoir européen ne veut surtout pas d'une bourse du pétrole en euros.
Tout ça alors qu'on a parlé d'une bourse du pétrole en euros proposée par l'Iran (finalement bidon, mais l'important, c'est qu'on en ait parlé). Mais de la part de l'Europe, qui est pourtant concernée au premier chef, rien. Ca ne vous semble pas bizarre ?
Bien sur, le problème, ce n'est pas que les dirigeants européens n'en ont pas eu l'idée. C'est surtout qu'ils font partie d'un pouvoir plus global, et que les USA étant le bras armé de cette clique internationale qui nous gouverne, il n'est pas question de l'affaiblir en créant une bourse du pétrole en euros.